lastico
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 Posté le: 14 Aou 2004 4:30 Sujet du message: HUMOUR NOIR, L'Histoire avec un grand H |
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Encore un petit texte, pour la route...
Tout professeur d'histoire qui se respecte, ne serait-ce qu'un petit peu, tache de transmettre l'amour de sa matière. Et comment transmettre cet amour ? En leur en montrant l'origine. L'amour de l'historien viens de l'amour de la connaisance. L'histoire est une clé permettant de comprendre le monde. Sans histoire, l'homme passerait son temps à répéter sans cesse les memes erreurs. Alors que, rendons grace au Seigneur Tout Puissant... je dis tout puissant, mais c'est uniquement pour ne
pas le véxer, Il est évident qu'à son âge... D'ailleurs, ca fait 2 millenaires qu'il n'a plus de relations sexuelles, même seul. A mon avis sa fin est proche. Mais rendons tout de même grace au Seigneur Tout Puissant. Car avec l'histoire, l'homme peut tirer de chaque erreur une lecon.... Pfff.
Et bien moi, l'histoire je n'en vois pas l'utilité. Croyez vous sincerement que c'est en regardant le passé que l'on comprend le présent ? Bande d'incompétents... Regardez le passé si cela vous chante.
Mais je préfère vous prévenir de suite : vos recherches seront suivies d'une grosse période de déprime. Quoi de plus triste que de regarder le passé ! Mais allons-y, retournons à l'époque ou notre histoire a commencé. Il était une fois Une bête poilue tire au flanc qui passait le plus clair de son temps dans un arbre à sommeiller. La bête, constament dans un état semi-larvaire, fini par tomber, se retouvant à terre, dans une posture inédite. Cette posture incongrue, voir figure 1.3, permit aux paléontologues de définir une nouvelles branche dans l'evolution : les postéripèdes. Apprenant qu'elle était ce qui se faisait de mieux dans le monde animal, et même peut être végétal,
la bête ne se sentie plus de joie, et décida qu'elle s'appelerai Lucy. C'est parce qu'elle est tombé
sur le cul, et uniquement pour cela, que Lucy peut être considér comme la toute première hominidé.
L'homme étant, par définition, le seul animal qui tombe sur son cul. Le chat, plus malin, retombe sur ses pates. La chenille, quand à elle, fini par s'envoler. Seul l'homme amorti sa chute avec son coccis. Pas besoin d'être Freud pour comprendre le rôle central des fesses dans l'inconscient humain.
Et rien n'a changé. Notre inconscient reste notre inconscient, et chaque soir, sans mémé sans rendre compte, l'Homme rend hommage à Lucy, en allant s'écraser, postérieur en tête, devant sa téle,
sur un fauteuil Ikea. Ah Ikea... Le bonheur suédois à porté de main. A monter soi-même !
Revenons à notre histoire. Lucy donc, bien qu'heureuse, s'etait fais mal. SOus l'impulsion de la douleur, elle se leva pour se froter les fesses. Une anecdote sans interet est souvant contée : voyant une rivière, Lucy fit quelques pas pour aller tremper sa plaie, devenant ainsi, en plus de posteripède, bipède. Mais ne nous éloignons pas du sujet, qui n'est d'ailleurs toujours pas clairement défini. Pour ne pas souffrir davantage, Lucy décida d'éviter les chemins empreinté par les lions, et les autres petites bestiolles susecptibles de gacher sa journée. Grace à un ami à elle, Bison futé, elle pouvait tout les jours prévoirs ses déplacements, en évitant les itineraires les plus dangereux. Mais son ami était vieux. Et bientot, Lucy due se debrouiller seule. Heureusement, Bisons Futé lui avait apris, dans un dernier souffle, à maîtriser le feu. Lucy n'ayant plus peur des lions, commenca à se reproduire avec tous ce qui bougeait. Seul Franck, un autre posteripède, reussisait à la contenter.
Après deux long mois d'amour, Lucy commenca à vomir. Elle était enceinte. Dans un sursaut de bon sens, Franck decida de l'abandonner. Lucy découvrit les larmes. Mais son calvaire n'allait pas s'arreter la. 7 mois plus tard à nouveau la douleur la traversa.Une douleur Tellement forte que certaines femmes la décrive comme une joie : l'accouchement. La connaissance de son passé aurais pu pousser Lucy à retourner dans son arbre et à oublié toutes ses histoires de fesses,
pour vivre la vie telle qu'elle l'a toujours aimée. Mais non. Une force mystérieuse la poussa à continuer, à garder son bébé, et pire encore, à le nourrir. Lucy s'arma pour protéger son territoire. Elle décida aussi que tous les gens qui était proche de Franck devrait partir vivre
ailleurs, à l'étranger. Les premières guerres extra territoriale éclatèrent. La division avait créer la confusion. Croyez vous pour autant qui Lucy allait tirer les lecons de cette sinistre guerre ? Non. Elle décida plûtot de rejeter les pacifistes qui peuplaient ses terres. Ils se reunirent au sein d'un nouvel état, qUi rentra rapidement en guerre contre les deux autres. Lucy décida de se lancer dans la course à "l'armement dissuasif". En quelques années, elle mit la bombe H au point. Et, pour en tester les effets dissuasifs, en largua un prototype. De nouveaux les postéripèdes furent confrontés à des douleurs horribles. Pire que les précédentes.
Voila notre histoire camarades posteripèdes ! Et croyez vous que nous en ayons tirer le moindre enseignement ? Non... La solution n'est pas dans le passé. Le passé fait peur. Le passé n'est que douleur. Observons plutot le futur. Futur plein de promesses.
Bien évidemment, au premier abord, l'avenir, ca fait peur : Les guerres nucléaires, le terrorisme,
les scientifiques qui attendent que la planète se rechauffe (pendant que les politiques gèlent leur crédit), Sarkozy... A part une hausse de la fréquantation des plages
au danemark,on pourrait croire qu il n'y a pas grand chose de bon à attendre de cette apocalypse annoncée. Detrompez vous ! Un futur meilleur attend nos enfants.
Certes les pluies acides, couplé aux catastrophe nucléaire, auront dessimés la plupart de nos petits enfants, et les derniers survivants seront condamnés à vivre canicules sur canicules. Mais leur refuge les transportera de joie ! Lucy Jr et ses camarades n'auront pas d'autre choix que de rejoindre les arbres. Les arbres ! Enfin un endroit Ou notre équipe de joyeux drilles
post nucléaire pourra vivre dans un état semi-larvaire. La bombe H n'est que le moyen de retrouver le paradis d'antant, ou l'homme roupillait, à l'abri des douleurs. Ce n'est donc pas dans l'interprétation de notre passé que réside la solution, mais dans la compréhension de notre futur. Le passé affole. Le futur calme.
Rassurons les hippies, les rastas, les punk, et les autres polissons :
Avec toutes les catastrophes qui se préparent, on va bien finir par retourner vivre dans les arbres. |
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