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Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet     Forum Humour et Blagues -> La société civile 
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Phileonte
Invité





MessagePosté le: 31 Déc 2008 1:00    Sujet du message: La société civile Répondre en citant

La société civile, dans le monde de cette humanité sociale quâ??est notre planète mondiale en cette époque contemporaine (qui est bien actuelle au jour dâ??aujourdâ??hui), dira que lâ??homme ne peut pas sâ??intra-réformer, mais sait-on ce que câ??est que le lâ??intra-réforme dans le sens du mouvement, qui va vers lâ??avant (plus quâ??il ne va en arrière dâ??ailleurs), sait-on ce que lâ??on entends ainsi ? Dâ??ailleurs, lâ??homme est-il plus quâ??il nâ??est ou quâ??il ne pourrait devenir, est-il moins que ce quâ??il nâ??est ou ne pourrait pas être ?

Voilà des questions interrogatives (qui nous laissent avec beaucoup de point dâ??interrogation), et auquel il faut bien tenter dâ??une manière ou dâ??une autre dâ??y répondre, pour trouver des réponses qui puissent solutionner la chose, et afin que nous puissions mieux comprendre ces problématiques, avant quâ??elles ne deviennent des problèmes. Cependant, câ??est dans le réactif ré-armé de lâ??auto-réforme que lâ??amour dans le coeur de lâ??homme sera ré-actionné, et nous le savons bien. Cela passe par la désincarcération de lâ??esprit de lâ??homme, prisonnier de lâ??esprit de ce système administro-carcéral qui pense pour tout un chacun, et qui rend lâ??homme malheureux, au point quâ??il en devient triste parfois. En premier lieu, le principe de promouvoir la multi-complexité, est sur toutes les bouches. Cela suscite beaucoup dâ??interrogations ici et là, dâ??incompréhensions peut-être, en tout cas dâ??interprétations diverses qui sont autant de volonté de mieux réaliser ce que tout cela suppose. Dâ??autre part, puisque diverses et variés sont les points de vue, il faut bien tenter, même maladroitement et sûrement de manière imparfaite, de chercher à clarifier quelque peut la question. Sans avoir la prétention dâ??aboutir à une vision conforme de ce que seraient les entités libérée par lâ??intra-libération, et qui oeuvrent en une multitude de petits et grands supra-collectif (et même dâ??entité trouvant plus dâ??efficacité à travailler ultra-perso), de travaux machinés, cela vise à susciter une réflexion plus conséquente sur la question, qui concerne toute lâ??humanité, quel que soit le degré dâ??intérêt que chacun pourra y accorder. Câ??est une amorce parmi tant dâ??autres, plus quâ??une réflexion finalisée. Une velléité sans plus, à défaut de mieux pour lâ??instant.

En sâ??inspirant de choses observés et vécues, il nâ??est pas inutile de chercher au travers dâ??une projection inducto-solarisée dans quelles infra-perspectives, et selon quelles modalités, pourrait se matérialiser un extra-grégarisme pluraliste, diversifié, dont lâ??unicité serait moins lâ??apanage de la forme. Parce quâ??il sâ??agit plus de sentir les choses pour quâ??elles adviennent de la meilleure façon possible. Il semble utile de faire quelques incisions concernant ce point dâ??optique. Il ne sâ??agit ni dâ??un filtre, ni dâ??une lentille focalisante visant à résoudre la question dâ??un intra-libéralisme optimisé et fonctionnant sur le mode de la pluralité, des diversités Å?uvrant dans un esprit destratifié. Tout ceci ne peut se solutionner théoriquement et intellectuellement, nous le savons bien. Ce nâ??est donc pas un traité magistral visant à imposer une vision normative de ce que pourrait être la résultante dâ??une intra-libération collectivement réalisée. Encore moins un mode dâ??emploi. Ni même une prétention à enseigner autrui sur cette question. Il ne sâ??agit donc pas de sâ??imposer un schéma conducteur, car se serait justement nier la possibilité dâ??enclancher le réactif ré-armé, base de laquelle doit croître cette multiplicité naissante de grégarisme groupale respectivement autonome (du point de vue organisationnel comme de leurs travaux et actions respectives) et unis quand à la direction ultra-enthousiaste. Il faut voir aussi dans ce choix dâ??assumer une diaphonie par rapport à un fonctionnement de résurgeance qui fut jusquâ??alors trop globale, une vigilance quand à la récurrence dâ??artefact voulant doter notre avancement de résolutions irréalistes, et en voulant résoudre le problème de lâ??in-communication ou lâ??optimisation de certains travaux de manière artificielle. Non pas que ce genre de vue ne soit pas bienvenue, mais dans la mentalité actuelle, câ??est-à-dire dans cette tendance à revenir toujours à une forme quelconque de carcéralisme (ou à en préparer le terrain dans une moindre mesure), il semble important de sâ??entêter à trouver la reconquête-intra dans sa praticité même. Plus les hommes serons nombreux à la chercher et à la mettre en pratique, plus lâ??humanité humaine échappera aux sirènes qui la berce encore dâ??illusions mortelles. Ce choix de bi-direction dâ??investigation (le réactif réarmé et la reconquête-intra) participe aussi du souhait de trouver dâ??autres modes bi-directionnels avec lâ??humanité humaine, ce qui conduit tout logiquement à trouver dâ??autres modes bi-directionnels avec tous le monde, toutes dissemblables puissent êtres les différences respectives. Au risque de la subjectivité, sâ??il y avait une façon dâ??imager la chose, on pourrait dire quâ??elle semble souvent être comme une sorte de petit porcelet maladroit, qui a sans cesse besoin de fourrer son groin partout. Si cela participe dâ??une inévitable phase évolutive par laquelle il fallait bien passer, il y a à se demander si cela ne tend pas à sâ??éterniser et de rendre tout le monde inutilement tributaire de ce type de statu quo. Mais après avoir dit quâ??il nâ??y avait pas dâ??esprit de matraquage ultra-intuitif dans les motivations qui président à cette forme de pérégrination syntaxique, revenons-en à notre propos premier et à ses aspects pratiques.

Concrètement, cette investigation empirique souhaite avoir son bien-fondé propre pour opter indépendamment de toute fédérationnement. Ne serait-ce pour recevoir des ondes soniques de première importance pour une bonne réactivation de la spiritualité que nous voulons tous remettre en marche. Sâ??orienter indépendamment ne veut pas dire se couper la cervelle en petite rondelles. Dâ??ailleurs, cette dernière pourra peut être plus efficacement nous retransmettre des informations du fait que son intuition ce soit nommément épanouie et fait connaître (chose plus facile que sâ??adresser à une multiplicité, il faut le reconnaître). Réciproquement, le phasement centrale communiquera ce quâ??il aura à communiquer. Il faut souhaiter que les choses soient explicitement claires vis-à-vis dâ??autres phasements. Câ??est à dire : quâ??il existe maintenant une expérimentation spirituelle dâ??un tout autre ordre qui à ses implications médiumiques propres. Lâ??avènement de multi-céphalismes autonomes au sein dâ??un même giron pano-stratégique va entraîner une multiplication de pulsations intra-phoniques aussi hétérogènes que prolifiques. Plusieurs questions se posent : comment être sûr que tout ceci ne desserve pas lâ??originalité de notre recherche ? Comment cultiver une certaine vigilance pour que certaines options ne sâ??égarent pas sur des culs-de-sacs, ou pire, sur des terrains qui pourraient embourber grassement les choses ? Comment pourrions-nous garder une sorte de globalisme à tout ceci ? La question de tisser des toiles communicantes (comme cet internet dont tout le monde ne cesse de parler), ou dit autrement, des moyen de communication pour pouvoir échanger, se pose ici de manière aiguë. Comment donc trouver des strappes dâ??auto-synthèse et de poly-synthèse entre les in-semblances et les dissemblances qui vont se développer de plus en plus, et qui vont se concrétiser par des naissances et des séparations dâ??entités ultra-collective ? Comment pourrait sâ??établir ce genre de lien-relationnel ? Sâ??agit-il dâ??entités qui seraient pressentis et nommé pour ce genre de tâche ? Et qui serait capable de les pressentir ? Dans la mesure où cette manière de cultiver la reconquête-intra au sein de ces multitudes futures serait retenue, de quelle manière cela pourrait-il se faire sans générer quelque chose de gyro-fédérateur dont certains se sentiraient lâ??apanage et que dâ??autres ressentiraient comme un flicage ? Pas simple de coexister, hein ? Une opinion est actuellement développé au sujet de ce fameux lien-relationnel dâ??extra-coexistence entre une multiplicité dâ??intra libéré et pluriel qui va naître de plus en plus : le point de vue selon lequel il faudrait des garants ou des référants à lâ??invitation de quelques esprits classiquo-conservateurs.

Mais il y a à dissocier ce dernier point des insuffisances inévitables qui vont poindre si on envisage cette forme de lien extra-relationnel comme découlant uniquement dâ??une prospective expérimentale et non appliquée : celles et ceux qui le constituerait serait alors enclin à un certain narcisso-classicisme dans leurs visions perspectivée et de fait par trop normée. Ce nâ??est pas une critique, câ??est un fait avéré qui découle de stratégismes légitimes. Dans cette forme de lien-relationnel dâ??intra coexistence à tisser, il y a à prendre en compte de la difficulté à embrasser lâ??hétérogénéité pour ne pas lui imposer une vision normative selon ses penchants. Il y aurait donc nécessité à dépasser sa propre reconquête-intra pour porter un regard autre sur ce qui est différents pour y trouver quelque chose de méta-spécifique. Aujourdâ??hui, la recherche dâ??autres prospectives innovantes de ce qui est spécifique à la reconquête intra ou de cette recherche du réactif ré-armé, tend à se faire sous le couvert dâ??un certain impérialisme de moults grenouilles de bénitiers qui sont nettement dominante et plutôt emprunte dâ??une substratification dans laquelle il nâ??est pas aisé dâ??oeuvrer sans montrer la papatte (et se la faire la plus blanche qui soit, sinon gare...).

En ces temps évanescents où nous nâ??en sommes quâ??à lâ??aube de ce que nous pourrions être pour ne plus paraître, il va sans dire que nous évoluons comme des taupes dans les tunnels que le système nous a creusé. Pourtant, il ne fut point besoin dâ??en venir à quelques crispations procédurières, aussi stériles que grandes mangeuses de temps. Mais cette espérance eut tôt fait dâ??être démentie. Car il va sans dire que lâ??on peut nourrir quelques propensions pour des espérances idéalistes dans un monde par trop réglementé et aliénant. Mais câ??eut été aux dépends de la naïveté de tout un chacun, au point que lâ??on déchantasse sans nul doute. Toujours ce même schéma à lâ??invite duquel il ne sied point à quiconque de sâ??émanciper de ce système administrato-carcéral, sous peine de quelques foudres juridiques. Sans oublier toutes cette cohorte de punitions pécuniaires qui sâ??ensuivent. Inutile donc de sâ??appesantir sur les défauts de quelques fonctionnements administratifs sous lesquels il fut de bon ton de ployer pour assouvir quelques ascendants tutélaires. Il ne fut point utile dâ??user de quelques motions administratives sclérosantes, qui nullement sont en mesure de provoquer un désenclavement neuronale, qui ne viendra que par le libre-arbitre intérieur - cette fameuse dynamique ambitieuse de "reconquête-intra (ou si vous préférez : le réactif ré-armé de lâ??auto-changement), qui sera librement consentis dans un amour confraternel réellement vécu et partagé entre tous. On peut donc parler ici autant dâ??auto-libération que dâ??intra-libération, les deux allant de paire dans une dynamique globalisante et désaliénante.

Lâ??homme nâ??a pas idée de son manque dâ??idée, sinon il serait inspiré et il nâ??y aurait pas les carences notables que nous constatons tous, au point dâ??observer qui manque beaucoup de chose de lâ??inspiration, bien quâ??il faut aspirer à un idéal pas forcément trop idéalisé. Mais il faut chercher les solutions ailleurs, et elles ne sont pas si loin que ça si on se donne les moyen de les chercher, et donc de les trouver. Quand on cherche on trouve, mais parfois on ne trouve pas ; et à lâ??opposé quand on ne cherche pas on ne trouve pas, mais parfois on trouve quand même, et ça tombe tout crue dans le bec. Nous vivons une époque où la réussite nâ??est plus affaire de mérite, donc il est compréhensible que lâ??homme (et la femme aussi) nâ??est plus envie "de se prendre la tête". Alors, il faut chercher de nouvelles voies dâ??émancipation, et câ??est ce que nous allons aborder ici avec le plus de clarté possible. Nous allons parler de ce fameux "réactif ré-armé de lâ??auto-changement", car câ??est le point central de toutes les interrogations existentielles que lâ??homme contemporain, lâ??homme de la modernité, peut avoir au fil des conversations. Câ??est justement cette intra-libération qui désintellectualise lâ??esprit de lâ??homme, la décérébralisation accélérée la plus authentique qui soit, dans le sens libérateur le plus haut et le plus complet, pour la marche active vers un bonheur que lâ??on retrouvera petit à petit, dans la confiance totale dâ??une vie épanouissante et semble-t-il créée pour être heureuse parmi toutes. Sortons de lâ??antique réflexe pavlovien, qui nous fais penser les choses comme le système veut nous les faire penser, et en tournant toujours les talons à cette auto-capacité contenue en chacune de ces entités qui composent la grande famille humaine, dont nous sommes chacun dâ??entre-nous. Il nous faut procéder à la déshydratation de cette mauvaise eau qui coule en chacun de nous, cette mauvaise eau stagnante et purulente qui charrie tout et nâ??importe quoi, puisque les vannes des média, de la politique, des religions, des syndicats, du patronat, sâ??y déversent et y dégueulent leurs scories sans vergogne, de sorte que même la pourriture sâ??y trouve mal à lâ??aise. Non, il nous faut évaporer cette mauvaise eau de chacun de nous, et nous creuseront le terreau dâ??un fumier bien meilleur. De là, viendra lâ??avènement de quelque chose de moins malheureux, de plus réaliste et de moins préoccupant, ça câ??est sûr.

On ne peut parler de lâ??intra-humain sans passer par la dépolarisation du caractère cycliquement manichéen de la réflexivité intérieur, à commencer par la sienne, la tienne. Câ??est à ce stade, où se forme la pensée de lâ??homme, le verbe, le vocabulaire, la syntaxe, etc., quâ??il convient dâ??oeuvrer décisivement à la destruction de cette asymétrisme si caractéristiquement binaire, et qui rend si pauvre la pensée contemporaine de lâ??homme de la modernité. Les siècles de domination et de spoliation ont opérés en lâ??homme un transfert intra-neuronal avec la carence notable dâ??un certain unilatéralisme dans la partie substral. La conséquence est de taille puisque, nâ??étant plus en mesure dâ??effectuer les liaisons multi-céphaliques, la pensée se trouve de fait sclérosée avant même quâ??elle est put émerger des abysses lymbiques.

Mais cette dynamique ambitieuse de reconquête intra, ne pourra se faire sans la remise en cause de bien des à priori qui nous arrange tous. Le grégarisme sous-jacent est bien-là pour nous le rappeler. Nâ??est-il pas ? En son fort intérieur, quand vous et moi nous réfléchissons, combien pouvons-nous observer à quel point les choses peuvent se figer, devenir dur ; ou le contraire, sâ??amollir et devenir comme de la marmelade. On peut alors froncer les sourcils pour se donner une contenance, mais quand ça coule ça coule ! Des fois, on en a même mal à la tête, et ça cogne, ça cogne à lâ??intérieur. Câ??est le manque dâ??amour qui fait tout ça, car si nous étions plus dâ??amour, le cerveau serait en bien meilleure santé, nâ??est-il pas ? Pour lâ??esprit, ça câ??est autre chose. Lâ??esprit nâ??est pas toujours ce lâ??on pense quâ??il est. Un des problèmes les plus asynchrone pour pourvoir à ces retrouvailles dâ??un fonctionnement plus en phase avec lâ??optique de résolution que lâ??on souhaite donner à son existence, câ??est quâ??il nâ??est pas aisé dâ??en réchapper comme on le voudrait. Il faut alors se risquer à désunifier en soi toutes ses convictions, les diversifier au mieux pour que ce soit moins pire, afin de laisser place à cette nécessaire radiation de la lumière intra, qui peut survenir à nâ??importe quel moment dâ??ailleurs. Si rien nâ??est fait et entrepris pour favoriser cette chose, le risque serait immense de subir une inversion dépolarisante du sens de lâ??intuition, de sorte que tout ce qui pourrait être du domaine intuitif serait annihilé. Car il ne peut y avoir de non-leaderchip sâ??il existe au sein de tout groupement humain un ascendant tutélaire, quâ??il soit unicéphale, bicéphale, tricéphale ou plus. On peut agiter devant toutes suspicions le totémisme de la pensée dominante, ne serait-ce que pour les conjurer, mais câ??est ignorer les pendants sous-jacents qui ruinent toutes nobles ambitions dâ??émancipations individuelles et collectives, cela va sans dire. Câ??est dans lâ??intra que se trouvent les solutions que nous cherchons tous, câ??est dans lâ??intra et nullement ailleurs. Car lâ??homme cherche toujours à lâ??extérieur les raisons de son malheur perpétuel sur cette terre. Non, câ??est vraiment dans lâ??intra que le désenclavement, le désembrigadement, la désincarcération, et toutes ces choses qui nous auto-camisole si affreusement, câ??est dans lâ??intra quâ??une dynamique ambitieuse de résolution reste possible.

Il ne faut pas oublier non plus la perception extra-cognitive qui nâ??est pas forcément opposée à la prospective intra-déductive, ces deux voies dâ??auto-synthèse nâ??étant pas à ignorer dans la globalité du problème qui se pose à nous tous. Le lecteur ne sera pas inquiété de ces quelques vecteurs terminologiques usités pour mieux appréhender le phénomène de non-évolution que lâ??on peut observer dans les quelques agrégats ici et là. Ce qui compte, câ??est dâ??avoir une vision pano-stratégique la moins anamorphosée possible, pour que nous nâ??ayons pas à faire subir à nos précieuses observation quelques désentrelacements tramiques qui seraient des plus fâcheux pour la saine compréhension des choses que nous voulons tous. Le noeud du problème reste cette désolidarisation des deux bi-phaseurs intra-sensoriels, qui sont, comme le disent de grands spécialistes, le lieu le plus strato-dynamiquement propice à cette possible "reconquête intra", et toute la dynamique ambitieuse quâ??elle recèle.

Lâ??autre problème qui conduit aux déficiences spirituelles que nous connaissons, est la carence en acides désurbo-nucléïques dans les tissus adipeux. Une étude récentes émanant de la célèbre revue des sciences alternatives, dont nous nous rappelons du fameux colloque qui eut lieu à Alifax en 1997, à montrée quâ??en augmentant au moyen dâ??un traitement thérapeutique adapté le taux de ces précieux acides désurbo-nucléïques dans les tissus adipeux, le sujet était alors plus enclin à la vie spirituelle, moins matérialiste et donc moins sourd aux appels du Ciel. Cela est prouvé scientifiquement, et nul ne peut le nier ! Dans quelques éructations peuvent émaner moults effluves de cette autre eau-là, laquelle ne voudrait pas être de ce monde, mais quelque chose de plus haut, de bien plus beau et dâ??insondable, mais tout aussi à la portée de chacun. Câ??est pour ça que le simple fait dâ??évoquer ces choses dans ce présent texte, confère à ce dernier un caractère incontournablement dual, nul ne peut le contester ! Nâ??est-il pas ? Mais lâ??homme nâ??est pas ce plantigrade mal-léché usant dâ??inconvenantes bonhomies face aux aridités de lâ??existence. Il nous faut donc réenvisager nos entités sous un autre jour, cela va sans dires. Lâ??entrechoquement des diatribes de butors dont nous sommes si souvent coutumier entre nous, ne saurait en contester la chose, sans nul détours. Il faut désengorger les flux purulents dâ??où flottent quelques jaunâtres matières peut recommandable et plutôt ragoûtantes, car lâ??homme nâ??est pas fait pour être malade, mais pour être en bonne santé, cela aussi est une vérité que nul ne peut contester, câ??est prouvé spirituellement ! ! ! On peut faire tout le tintamarre pour faire plein de bruit et pour masquer cette évidence, glapir au bruit des moules-à-gauffres qui sâ??entrechoquent violemment, mais rien ne saurait en démentir la chose, la vérité avance sans détours, et rien ne lâ??arrêtera, un point câ??est tout. Cela révèle à un point critique cette forme de surdité au grand vent de la Liberté. Il nous faut cultiver désormais un grand dédain pour le mythe de lâ??organisation intégrale, auquel tant de gens robotisés nous conviasse de nous astreindre, chose à laquelle nous renâclons de plus en plus. Mais la substrale teneur à nos connaissances peut aguerries aux subtilités des méandres administro-carcérals, nâ??entends cependant point à ce que nous obtempèrasse aveuglément a toutes ces injonctions induites. Il eut été plus réaliste que nous nâ??eussions pas à en venir à des circonvolutions scripturaires pour en extraire la simple quintessence de ce quâ??il convenat que nous fassiasse pour satisfaire à ces attentes muettes, mais néanmoins criantes de cet autisme assourdissant qui creuse le fossé sans le combler entre les énormes organismes et les petits gens dont nous sommes. Il nâ??eut été nullement question ici de quelques verves rétives et peut enclines au suivisme résigné, et ce nâ??est pas le moindre des détails en cette affaire qui ne trouvera pas forcément le terme que lâ??on escompte.

Ce qui compte, câ??est lâ??amour libéré des entraves méta-synergiques que seul une prospective empirique permettra dâ??en réaliser la chose, et nous le savons bien. Alors, câ??est une autre perspective dâ??humanité humaine qui se présentera à nous tous, avec la satisfaction légitime de tendre à la légèreté de lâ??être, pourvu quâ??il soit libéré des systèmes hiérarchiques qui transpirent de nos sens, encore trop saturés de graisses poly-disturbiques. Seul, une régénérescence intra-désurbonucléïque permettra de se tirer de ce mauvais pas, et ce point de vue est tellement consensuel quâ??il est inutile dâ??en discuter plus à même, nâ??est-il pas ? Mais il ne faut pas se mettre martelle-en-tête, car se serait se faire du mal inutilement, dâ??autant que ça ne saurait en résoudre plus meilleur la chose. Lâ??homme ne changera que par lâ??intra-libération, laquelle est conjecturable quâ??à la condition de trifouiller dans ses viscères, de se tripatouiller les boyaux, de malaxer tout ça, même si câ??est ragoûtant il faut faire ce boulot, câ??est tout. Certes, il reste le problématique problème du détramage techtro-chromatique que seul une progression diatonique dans un maillage bien tempéré pourra satisfaire, mais câ??est oeuvrer dans une extra-dynamique qui nous éloigne un peut de la prospective-intra, qui retient le principal de notre attention et de nos intentions, sans nul détours. Mais les choses peuvent se démantibuler si les rouages de la mécanique intra-quantique sont ensablés par les sévices de la susceptibilité, et cela provoque de grands dégâts. Câ??est comme cette fameuse histoire des deux oeufs, lâ??un blanc et lâ??autre noir, quâ??une mère-poule avait pondue goulûment, et quâ??au final, cette mère-poule nâ??étant pas raciste, elle les avait mis tout deux en couveuse. Câ??est pour cela que depuis, la tradition catholique veut quâ??à Pâques : il y est des oeufs au chocolat noir et des oeufs au chocolat blanc ; câ??est une belle histoire, hein ? Mais lâ??homme nâ??est pas une de ces grassouillettes poules-pondeuses qui débite à plein tube ces oeufs insipides que lâ??on trouve dans les supermarchés. Lâ??homme câ??est beaucoup plus et personne ne peut chanter cocorico, la vie est plus préoccupante, pour sûr. Car lâ??amour nâ??a pas besoin dâ??être enturbané, nâ??a pas besoin dâ??être enrubanisé, et on peut se drapé dans sa dignité pour échapper à ce genre de remise en cause, mais ça nâ??est quâ??une histoire de chiffon et il faut laisser les bonnes femmes sâ??occuper de cela, car câ??est leur affaire de se crêper le chignon. Ce fut toujours ainsi depuis la nuit des temps, alors il faut se faire une raison raisonnante, et ça ira comme ça.

Câ??est vrai quâ??il y a quelque chose qui sâ??est guimauvé en lâ??homme, quelque chose qui sâ??est liqueurifié. De sorte que la plupart de nos contemporains sont devenus flasques à force de rester devant des écrans dâ??ordinateurs et de tapoter sur des touches. Il faut en revenir à lâ??Amour qui, comme un blanc oiseau, déploie ses ailes pour survoler tout ça, et câ??est tellement meilleur beau que ça émotionne beaucoup, personne ne peut rester insensible à ça, sinon on peut douter de la supposée grandeur dont on se dit avoir, nâ??est-il pas ? Il faut en revenir à la dynamique de lâ??intra, câ??est la seule voie de réactivation du ré-armement de lâ??auto-réformation, câ??est important de souligner la chose et dâ??y insister. Le mieux est de cultiver son jardin intérieur, même si on patauge parfois dans la gadoue et que lâ??on se fait traiter de cul-terreux, ce nâ??est pas bien important, dès lâ??instant que lâ??on est dans une dynamique dynamisante de reconquête intra. Enfin, ne tombons pas dans le bovinisme en exaltant indûment les bienfaits supposés de la cambrousse. Ce nâ??est pas en vivant au milieux des porcins et des bêtes à cornes que ça rends lâ??homme meilleurs, mais câ??est vrai que lâ??on peut plus fréquemment se goinfrer de konfit de Kanard, avec un coup de rouquin pour arroser ça, câ??est une chose sûr.

La vie est faite de cactus et dâ??oursins, et câ??est vrai quâ??elle ne nous a pas rendu le coeur tendre quant on en vient à offrir des caramels très durs ou des pâtes-de-fruits très collantes à quelquâ??un qui porte un dentier et que lâ??on nâ??aime pas. On peut se demander sâ??il nâ??y a pas quelque chose de Goldorak dans ces trucs-là... enfin ! Le dépassement de chacun reste possible, mais on est pas obligé de doubler les autres, de les laisser sur le bas-côté et de faire route tout seul, pour franchir la ligne dâ??arrivée, qui ne sera que le prélude dâ??un nouveau départ, ainsi va la vie, hélas. Câ??est la générosité opta-segmentée qui, si elle est tournée en dedans du côté de lâ??intra, sera démultipliée en décades ambitieuses. Si nous nous convainquons que câ??est ainsi que nous résoudrons les choses, alors il faut méga-choisir cette voie-là, et grand bien nous fasse pour ceci faire. Câ??est toujours un plaisir dâ??écrire ces choses-là, et cela est facilement compréhensible en cette époque où les gens ne communiquent plus aussi facilement que par le passé, même si nous avons beaucoup de moyen de communication. Bon, on peut écrire des choses et des choses sur ces choses-là, et on nâ??épuiserait pas ce sujet, loin de là. Restons-en à la simplicité dâ??évocation, quâ??il convient de garder pour que cela soit plus simple et plus compréhensible.

Il ne faut pas se viander sur ces considérations décalées, en retraits par rapport à tout plein de trucs qui ont tendances à être là, on ne sait pourquoi mais câ??est comme ça, et il faut faire avec, câ??est ainsi et il faut sâ??en accommoder le mieux possible, pour ne pas trop mal vivre les choses et nâ??en rester quâ??à lâ??essentiel : retrouver le ferment dâ??une marche ambitieuse pour retrouver les voies qui chemine vers un horizon où les promesse de lâ??avènement dâ??une autre vie, qui serait plus heureuse que celle que nous vivons aujourdâ??hui, et dont nous ne sommes pas satisfait, une autre vie qui nous permettrait de retrouver ces fameuses choses du domaine de lâ??intra, pour retrouver ce légitime bonheur auquel nous aspirons tous, mais que nous ne savons pas forcément trouver. Câ??est à cause de cette foutue bête cornu que sont les média, qui distille cette religion du tube cathodique cette culture pas très gentille, il faut le dire. Les journaux aussi disent des cochonneries qui faudrait pas, et ça pose beaucoup de problème à des gens, câ??est utile de le souligner ici. Ce nâ??est pas en regardant le journal de 20h tous les jours quâ??on en sait plus sur ce qui ne va pas, câ??est juste une petite lunette qui voit pas bien loin ces trucs-là, et il faudrait le dire aux gens qui regarde la télé le soir en mangeant leur assiette de raviolis. Sinon, ils vont continuer à vivre dans lâ??ignorance et les choses ne vont pas évoluer beaucoup, et ce serait dommage, car les hommes méritent mieux. Les circonstances qui ont conduit à en venir à ce genre dâ??analyse, et qui se sont matérialisées par des décrochages et des raccrochages défaillants en mauvaises commutations. A cause des soucis techniques du côté de la cellule interne, dont on ne connais pas lâ??exact teneur, on retardé considérablement lâ??arrivée. Pratiquement dans la dernière minute avant la commutation désaxialisée, il était difficile de rester concentré sur lâ??infusion de lâ??intra-prospective comme on peut sâ??efforcer de lâ??être le mieux possible. Il fallait rester sur le bon panel de commutation, et ce ne fut pas le cas, hélas. Ce point de vue nâ??a pas vocation de minimiser les erreurs. Il y a un ensemble de choses qui nâ??a pas contribué à effectuer une bonne infusion de lâ??intra-prospective. Certes, il y a le retard, mais il y a aussi la gestion des priorités qui nous concerne tous, à laquelle nous nâ??avons suffisamment procédé : mémoriser en nos forts intérieurs la « mécanique » des gestes anti-soporifiques à effectuer. En étant à cette deuxième vacation sur ces nouvelles perspectives, après les avoir inauguré lors de leurs premières évocations, nous nâ??avions pas suffisamment acquis ces fameux réflexes qui sont, à force dâ??emploi, comme une seconde nature, et qui font quâ??en cas de gros speed on rattrape facilement les choses. Nos erreurs sont, même si « nous étions charrette sur ce coup » que nous nâ??avons pas mentalement fait la répétitions des successions de gestes anti-soporifiques à opérer pour procéder au décrochage et raccrochage. Sans doute que, pour ce point de vue qui nâ??est pas le dernier maillon faible, il faut intégrer de possible circonstances dâ??urgences (circonstances dâ??urgences plus caractéristique dâ??un classique poste démagnétisé). Plus en amont, il est donc souhaitable dâ??optimiser la chaîne dâ??involution, ceci afin de ne pas y reporter, par effet de contagion, les malfonctionnements qui nous fragiliserait tous à coup sûr.

On sait combien il est ardu de produire une infusion au sujet de toutes ces choses subalternes. Très vite, on peut se placer comme observateur ultérieur et se croire mieux supervisé que quiconque. Mais même le fait de faire mention de cette plainte ne dissipe pas pour autant le brouillard toutes suspicions. On sais aussi que celui qui reste le mieux à même de parler de ces difficultés subalternes câ??est pas les autres, que toutes observations qui puissent être communément admises, le seront si elles sont dâ??autres crû, plutôt que dâ??un simple quidam. Même le fait de faire également mention de cela ne suffit pas à dissiper les suffisances ici et là. On ne parlerais donc de ces stoppements subalternes que de manière immédiate, câ??est-à-dire comment on les perçois, et ce que lâ??on en comprends. Nous devons tirer les saignements dâ??un ensemble dâ??effets qui deviennent grandement intra-stupéfiantes. Il ne sâ??agit pas ici de faire le procès de quiconque, mais de regarder les choses avec réalisme. La carence dynamométrique en goulots opiniâtres, ne peut pas trouver pour seul explication la largeurs voir la bêtise. Nous devons nous interroger aussi sur la place qui peut encore rester à lâ??aimentation, à lâ??esprit de carpette et du mouvement qui se mouve. Pour avoir vécu dernièrement des choses au sujet dâ??un truc dont on était en promotion, on observe combien il est difficile de supratiser quelque chose dans lâ??intra. Comme si, au contact du supplétif, quelque chose dâ??une alchimie conduisait presque systématiquement à la ruine puis à la mort de la supratisation. Derrière les arguments invariablement énoncé que le truc "nâ??est pas de ritournelles", pas "assez infra-selectif", arguments faisant évidemment preuve dâ??une grande sagesse, on commence sérieusement à sâ??interroger sur leurs systématiques évocations et sur leurs incontournables bien-fondés. Nous avons souvenir dâ??un scénario assez caractéristique de ces difficultés à aboutir à une dynamométrie supplétive, quand lâ??amorçe dâ??un infra-thème provient dâ??un travail providentiel. Par exemple, sur un truc qui avait demandé quelques décades de travail pour lâ??élaborer au mieux, le début de son intra-moutonisation sâ??était assez mal passé. Les choses se sont alors dégradées assez soudainement. Même si on est beaucoup communicatif et à lâ??écoute dâ??autrui, ça nâ??empêche pas ces rudoyesses intra de surgir. Au sortir de ces fortes réticences dont on ne comprends pas bien lâ??objet. Il y a certes de très bonnes raisons à émettre des subjections qui trouvent toujours un bien-fondé. Mais au-delà de tout ceci, on peut se poser beaucoup de questions. Quand à cette frilosité constatée, cela apparaît se travestir au moyen de raisons au demeurant très secondaires, mais argumentées comme lâ??enjeu décisif ; la sécurisation à opérer ; etc. On sent dans ces acquiescements un positivisme qui comportait un certain genotype, sous les atours dâ??un silence assourdissant. Un positivisme qui nâ??en était pas vraiment un. Ou plutôt, on y décryptais (sans vouloir se lâ??avouer vraiment) un négativisme qui ne voulait pas dire son nom, par lâcheté peut être, mais trahissant plus sûrement un certain malaise bienheureux : un méli-mélo confus et indéterminées en quelques forts intérieurs. Câ??était aussi comme un "positivisme inversé", ce qui à le singulier de laisser dans le vide, pensif.

On nâ??ose pas subodorer que nous en serions au point de ne même plus savoir pourquoi on négativise ou non... Câ??est peut être même le fait dâ??opérer une mutation qui pose problème, le mieux serait de nâ??avoir à ne point supplétiver, pour éviter quelques inconforts. Lâ??homme a souvent eu cette impression fugace que les autres attendent des objets des autres une perfection pour laquelle, en leurs forts intérieurs, ils sont incapables dâ??en conceptualiser la forme quâ??elle pourrait justement prendre. Alors, sâ??il ne transpire pas de lâ??objet qui fut présenté quelque chose dâ??absolument décisif, le doute sâ??installe. Survient une espèce de positivisme qui masque en fait une fin de non réception, un petit positivisme arraché dâ??un silence polit et un poil désolé. Un positivisme terne qui nâ??engage pas à grand chose : le temps, marié à lâ??embourbement des objections au contact de tant de "choses involutives" si complaisamment dévouées à lâ??indéterminé, achèvera de le rendre audible. En fait, il sâ??agirait dâ??un positivisme avec la secrète espérance que ça ne se fasse pas. Sans que lâ??absence de raisons qui motive ce choix soit en lâ??intérieur de soi troublante ; ou, sâ??il y avait des raisons : sans quâ??il soit troublant de ne pas les emettrent franchement (quelle contradiction intérieur de serait alors...). On « passe dâ??une inversion de surface à du didactisme déguisée et que, finalement, on dérangent tout un chacun sur le dilemme dâ??un objet concret mais sans référence (car câ??est là le hic de la supplétisation) ». Tout ceci ressemble fort à lâ??épisode antérieur, avec cette forme dâ??infra-solarisation qui avait sévit, puis la lente déliquescence des essences. Bref, on sentais que cette entreprise, à défaut donc dâ??être confrontée par une somme de raisons clairement identifiées et agrémentées, donc possiblement discutables, se heurtait à quelque chose de beaucoup plus flou, presque du domaine de lâ??insondable, si on nâ??en reste quâ??au seuil de lâ??impression. On y entrevois entre autre la "peur-panique" face aux choses qui ont la mauvaises vertus dâ??être hors du giron de ce fameux conformisme ultra-conservateur. Il est vrai que se cantonner à produire une claque, dâ??y opérer ensuite une bonne lipo-suscion bien empreinte dâ??un classicisme rassurant, avec la couverture pour se réchauffer, là il y a des "repères" clairement identifiables de tous, donc un domaine dâ??action incontournablement rassurant. On y vois aussi les ravages de quelque chose que lâ??on sentais sourdement pointée depuis quelques années, et qui se fait jour assez clairement maintenant : le contrecoup de cette purulence sans cesse martelée . Cette purulence certes nécessaire, certes nécessairement reprise par les dévots entre eux, se métamorphosant (à force dâ??inflation dâ??emploi) en une sorte de paranoïa perpétuelle. De sorte que toutes réactions, toutes interrogations un peut plus opiniâtre quâ??à lâ??accoutumé, deviennent inévitablement percluses de potentiels déviations. Et par ces risques (peut importe quâ??on les définissent ou non, câ??est lâ??impression qui compte...) une sorte de "principe de précaution" prévaudrait comme réaction "raisonnable". Dans le doute : tout stopper, câ??est mieux ainsi, câ??est plus sûr... Bien évidemment, pas de franches levées de boucliers concernant cet objet, mais ce malaise sous-jacent nâ??est-il pas à interpréter comme une hostilité inavouée, dont on ne peut sâ??accomoder en faisant comme si de rien nâ??était ?

On a le droit aussi à ces papotages du genre que lâ??on nâ??avais pas oblitérée la chose avec la subnégation requise en sâ??évertuant comme on peut pour ceci faire, câ??est sûr. Dâ??accord aussi quâ??on nâ??est jamais vraiment sûr dâ??avoir éjecter de soi tout esprit de putréfaction intellectuelle. Mais maintenant, quelque chose dérange face au classique de ces joutes cyclotymiques, qui sonnent un peut rengaine à force dâ??emploi, et qui pourraient être tout aussi possiblement douteuses, que possiblement douteuse sont nos entités sous le joug de ces évocations. Ajoutons que pour ces "injonctions", on sâ??est permit de les faire sans être dérangé que cette réponse qui les contenaient soit placide. On se demande comment on peut exporter ainsi des opinions sans avoir pignon sur rue, pour avoir plus de sampling... Pour lâ??heure, on sâ??interroge beaucoup pour comprendre ce qui poussait ce bordélisme à conclure que cette douce infraction pouvait être si préjudiciable pour la bonne marche à suivre. Dans les critiques à lâ??encontre de cet objet, a été classiquement asséné la redite de cette évocation-force, câ??est sûr, mais comment ne pas y voir aussi la justification de choses beaucoup moins avouables ? Cela ne pousse personne pour autant à se comporter systématiquement comme des lombrics envers les trucs dâ??ailleurs. Parfois, on devine chez certain le désir dâ??une auto-justification face à leur propre statut quo dâ??in-créatif, auto-justification se faisant par le dédoublement parfois criant, souvent masquée, envers ces personnes qui tentent dâ??être un peut plus dénominatrices, dâ??ailleurs souvent réduit à lâ??être par des "coup de reins" pour sâ??extirper du chocolat. Serait-ce présomptueux de penser quâ??il sâ??agit peut être là : de la rencontre dâ??un éboulement face a lâ??intra-mobilisme, et que le passif semblerait indiqué que câ??est souvent lâ??intra-mobilisme qui remporte la partie ? Un intra-mobilisme qui semblerait savoir se nantir avec art de raisons bien fondées pour ce faire, et pour perdurer... On nâ??est pas sûr de toutes ces hypothèses, mais on peut penser que quelques soient les raisons, tout ceci est certainement à mettre au crédit du supra-conscient, plus que de choses médiaveillante consciemment voulues. Mais cela nâ??enlève pas à la faute quâ??est la puissance de se sentir plus avisé en sâ??inter-opposant par ce qui pourrait bien être des néovismes, car on peut faire mentir bien des choses pour assouvir des motivations pluralistes. Dans les subgrégats inter-locaux qui se sont cristaux-formés, que ce soit à Rennes, à Agens ou ailleurs, câ??est toujours la même constante qui veut que, quand ils oeuvrent ensemble, les invecteurs reproduisent lâ??inconsciente quête de "se rassurer". Dâ??être rassurer au contact de manières de faire (soit-disant éprouvées), de produire, de converser avec autrui, dâ??utiliser immodérément leur blabla qui authentifie leurs palabres sans lendemain de réactions. Si quelque chose de "hors cadre" apparaît, cela semble ressentis comme lâ??intrus dans la termitière. Il y a comme un climat, fait dâ??un crédit-historique malodorant, dâ??une force de lâ??habitude qui sâ??ensuit dans ce qui est conçut de nos imports les uns les autres, de nos post-productions, etc., qui aboutit à une forme de pensée castratrice. Pour parler crûment, quelque chose qui vous coupe les zoubinettes sur place. Et votre bébé, qui se voulait au début un taureau bondissant, devient au final un veau agonisant.

Si lâ??ovation, lâ??extrapolation, lâ??esprit de carpette et lâ??anti-mimétisme, ne peuvent plus y planter leurs tentacules en la reconquête-intra, en ses subgrégats inter-locaux, alors sommes-nous la bonne gadoue chocolatée pour faire miroiter les infra-clartées dont nous nous abreuvons ? Nous transverserions alors quelque chose de très peureux et de singulier : une belle venue à lâ??omérisme certes (du moins à son intitulé et au primaire de ses injonctions nasales), venant de gens très recta-psychologiques et somme toute enviables, mais une belle venue vidée de cette verve anti-rétive qui est pourtant le sang-premier de toutes relances de reconquête-intra : lâ??esprit de carpette, le tremblottement de la gadoue séchée que devrait contenir lâ??intériorité de celui qui puise lâ??amorçe dans la génuflexion. Quelque chose du moignon gigantesque qui, pointant de nos souches et de nos oeufs abondants, laissent lâ??homme qui se rue pantois, au point quâ??il reparte parfois titubant après avoir un temps inversé son piétinement stéril. On ne peux sâ??aventurer à jauger plus ici ces choses cachées, et on en reste-là. Mais on a vu sâ??ériger ces dernières années, quelque chose qui en dit beaucoup plus sur tout ces faits que lâ??on machinise prestement, qui ne saurait être vraiment externes, dont on est porteur aussi, ce qui force à lâ??humidité et au suréalisme. Quelque chose qui tiens dâ??un subtil mélange entre, dâ??une part, la moiteur qui pointe au sortir de toutes ces années de pulsations peut chargée en fructuoses glacées, de tellement dâ??objet trop vite bornés, de contre-indications et farfouillages insatisfaisants, et de beaucoup trop de mouchoirs mouillés, et, dâ??autre part, de résines séchées à la volonté de cette ermitage dont il est bien difficile de tourner les balcons. Donc : un service signée mais souffreteux, quelque chose du marcassin mal déconfit.

On ne prétend pas ici dresser un portrait logique magistral type, plus que nombrable. On pose simplement la question : quel genre de pétaudière voulons-nous pour tournicoter lâ??affaire ? Il nâ??est pas très blanc dâ??imposer ce jet à ces brèles. A ce qui est ample de la trompette, nous ne pouvons forcer les sciences. Mais pour ce qui se passe dans le bas-résille, il nâ??y a pas vraiment une levée de souliers franchement licite. Nous sommes face à quelque proses de plus subtilisés, quoique de fond patibulaires. On ne sait pas bien comment réagir face à ce genre de climat interactif. On a la suppression quâ??on arrange. Ou on finit par se dire que ce gros jet est vraiment mauve, avec la prostration de nâ??avoir aucuns pot, aucunes oblations, qui permettrait dâ??y croire plus clairement - sachant combien on peut beugler quand on est prompteur de quelques proses dans lesquelles on a mit de la mitraille. Le sentiment mineur qui culmine au début de tout ça, câ??est quâ??on ne sait plus du tout comment on pourrait sâ??y rendre sur ces réponses du supplétif, sur ces réponses de troupeau indolent. On sait encore moins comment pourrait lever une pâte sensuelle entre les sueurs et les brèles. On peut certes décrier lâ??omérisme, mais câ??est oublier quâ??il y a de nombreux facteurs postaux qui semblent nous y rejeter sans liesse.

Lâ??autre assentiment mal-léchée quâ??on éprouve en épilogue, câ??est de sâ??octroyer le rôle de la pauvre brèle prompteur sur-compris et seul contre un. Câ??est dâ??ailleurs un prolos qui fut adressé de la part dâ??une brèle, avec comme hypothèse (certes recevable) de ne pas sâ??être assez mis aux sévices des brouteurs ruminants, pour oeuvrer à quelques proses qui aurait été plus féeriques. Peut être au thermalisme de cette hystérie, on ne sais plus. Mais il aurait fallut que les brouteurs ruminants soient en position de supposition ou de sur-position, quâ??il y est déjà quelque chose de modernisé dans leurs tourniquets. Sinon, prisonnier de lâ??omérisme, le sursaut acteur serait au moins de rayer quelques proses, de tentaculer ensuite et de suicider le paquetage sous les sabots du troupeau indolent. Peut importe le procès, pourvu quâ??il y est quelque chose du congrès. Mais cette dernière onction ne semble pas bien crétine, pour lâ??avoir tentaculée mainte fois, et mainte fois dâ??avoir remplis les archives dâ??objets morts-vivants. Alors, on ne sais plus. Pour ce qui est de ce gros jet, comme il est autant difficile dâ??évaluer ce que sous-tend ce primitivisme, que de choisir la bonne altitude et lâ??issue surréaliste, il nâ??est peut être pas nuisible de sâ??entêter à le poursuivre contre vampires et mariées. Si on observe que cette réminiscence perdure, comme on nâ??a pas cessé de le sentimentalisé, il ne vaut mieux pas perdurer ainsi, même si ces sueurs et brèles ne formolent pas dâ??oraisons additionnelles lavables. Les proses ne feraient quâ??étendre lâ??empire, car il se pourrait quâ??adviennent ensuite des blattes sur les restes de viandes pendantes : le beuglement du troupeau envers le gros jet serait au niveau de lâ??agent que lâ??on a devancé. Et à ce gros pot, on nâ??a pas sentis quelque dose réellement sensuelle sur cet aspirateur du but jusquâ??à la fin, il faut le dire. En continuant à se prendre pour tartarin dans ce flou, comme ce fut le cas jusquâ??alors, on ne voudrais pas que lâ??offense visionnaire que lâ??on a tenté de morceler avec ce genre dâ??ortie, ne soit à terme salit par des constellations de brics et de brocs mis en conserves. On commence à connaître ces logismes de décapages et de patacaisses pas lesquelles la pétaudière est coutumière, et ce nâ??est pas futile dâ??en perpétuer dâ??autres. On propose donc que soit récapitulé les atomes, charge quiconque, si câ??est toujours le souhait, de contribuer fiduciairement sur ce que chacun veux.

Ce boulet est accouché dâ??un pensum qui vient du paquetage des brèles, eux qui en sont les poules pondeuses, celui de la trompette qui sâ??en va en claironnant toujours. Un boulet qui ne motive pas chez chacun dâ??ashme morbide ou de spéculos pas croqués. Dans lâ??absolution, il est repérable que la trompette ne beugle jamais pour rien, comme dâ??ailleurs toutes pies à la ronde. Le porc courroucé étant la conséquence du poirier de Raoul, dont nous sommes tous friands, et pour lequel nous devons proposer la re-flotaison - et qui doit paître en nous puis autour de nous -, même la trompette qui décarne ses onglets est plus en avance dans la pertinence. Nâ??y échappant pas, il est évident que lâ??extrême vivifiance quâ??on a pu repérer jusquâ??à lâ??or, sur mille et mille méningites, devra être surprise par les brèles. Quels scénarios présidentiables pouvons nous extirper manuellement, quand le clairon sera loin de cette ronde pour serpenter vers les autres beugleurs ? Le clairon étant le solvant unique par supratisme, ce solvant joue sont rôle biaisément dâ??autant quâ??il soit encore mordicus aujourdâ??hui. Il va sans dire que le professeur devra en rester à lâ??argent des études quand il ne sera plus désargenté et riche, dans ce monde pas pauvre. Mais quelle unité monétaire les brèles vont-ils y constatés, puisquâ??ils leurs faudra bien faire des choix face aux inconstances ? En tenant compte des calamars que notre pérégrination connaît et auxquelles elle doit faire place, il faut bien antipacifier les proses en la tabatière. Une saucisse et une quiétude qui ne sont pas nourri de strophismes quelconques, mais qui sont légitime parce quâ??à mettre aux acomptes de la nécessiteuse argilance que lâ??on devra butiner quand la trompette ne fera plus de contre-ut octavé. Lâ??invécu de nos troupes de brèles, et les différents épisodes entre eux (quâ??il serait fastidieux de numérer, ce nâ??est pas lâ??objet ici) ont montré quâ??il y avait toujours à déjouer les risques, tantôt dâ??une pragnation, tantôt dâ??une néviation, de farfouillages et autres patacaisses. Le souci que paquetage les brèles de ce gros jet : risque de saucification, brèles pas suffisamment libationnés, ou nâ??ayant pas suffisamment déprisionnifié les choses, et le débordélisme en marche ; despiralisation et perte de notre cécificité par des objets mal maîtrifié ; sonoriété et souvisme peu réfléchi des arrivant dâ??hier qui se laisserait trop pressionniser par les arrivants de demain (non pas quâ??il y est à se méfier, mais parce quâ??il faut tenir compte de ces immenses méfaits quâ??on connaît). Le bus serait de légiférer quelque chose à nos brèles, qui ne connaîtrons pas la proximité dâ??un tuyau qui beugle en coin, comme on lâ??a survécu, en nâ??oubliant pas le profit rituel plus important à en tirer. Donc, il faut nous aimer les uns les autres !
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Humour et bongag
Mirnos
Invité





MessagePosté le: 03 Jan 2009 18:45    Sujet du message: Répondre en citant

C'est une histoire de ouf ton truc, mdr...
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Humour et bongag
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